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Cette sélection de peintures florales ravira les amoureux des fleurs ! La Galerie d’art KAZoART vous présente des œuvres d’art originales et raffinées qui respirent la nature et ce qu’elle offre de plus beau.
Un bouton de rose qui éclot un matin de printemps, une allée de jeunes pousses de géraniums jonchant un chemin de terre ou un bouquet aux mille couleurs et parfums vous envoûtent ? KAZoART le sait, vous êtes un amoureux inconditionnel des fleurs, c’est pourquoi cette sélection de peintures de fleurs est faite pour vous ! Pénétrez dans le monde secret et ensorcelant des fleurs !
La fleur séduit l’âme et les yeux du spectateur. Elle adoucit son regard quand elle paraît sous son meilleur jour et l’attriste quand elle se fane. C’est pourquoi le peintre, qui s’intéresse à l’éphémère beauté de celle-ci, peint une fleur se parant de mille et un visages, suscitant une émotion versatile à son regardeur.
Accompagnant une jeune femme, elle devient symbole de jeunesse et de beauté, comme dans la peinture de fleurs Portrait de la Marquise de Pompadour de Boucher. Proliférante et vivifiante, elle renforce l’aspect sauvage et exotique des contrées lointaines, on pense au tableau de fleurs Oiseaux exotiques d’Alexandre François Desportes. Peinte pour sa beauté, elle devient naturaliste, quoique très stylisée, sous les coups de pinceau d’un certain Vincent Van Gogh quand elle est prise comme sujet principal, c’est le cas pour la peinture de bouquet de fleurs. Les tournesols.
A l’Antiquité, la fleur est pensée comme simple ornement de vases, vaisselles et fresques murales. Elle développe son fort potentiel symbolique en peinture à partir du Moyen-Age. Par exemple, dans l’art religieux, le lys sera associé à la pureté et à la virginité de la Vierge Marie avec le tableau de fleurs Annonciation, Les très riches heures du Duc de Berry. Elle reste néanmoins discrète, se voulant accessoire à cette époque.
A la Renaissance, la fleur et la nature servent d’ornements et de décors pour les scènes principales et ne sont que rarement mises en avant pour leur beauté formelle (Le Printemps, de Guiseppe Arcimboldo). Ce n’est qu’avec l’apparition du genre de la nature morte que les peintures de fleurs se démocratisent. Notons que les vanités reprennent l’aspect fragile et fugace de la fleur pour son aspect symbolique au 17e siècle (ex : Vanité avec bouquet de fleurs et pipe, Jan II de Heem ; Memento Mori de Philippe de Champaigne).
Au 19e siècle, les fleurs en peinture sont mises à l’honneur par les Impressionnistes et le Fauvistes pour la diversité de ses couleurs et formes, participant de ce fait à magnifier le paysage et le sujet représentés.