Née en Uruguay, le "réalisme magique" de nos écrivains sud-américains est depuis toujours ma principale source d'inspiration : La pluie à Macondo avec Gabriel Garcia Marquez, contes d’amour de folie et de mort avec Horacio Quiroga, la folie de Don Quichotte, le tango, la poésie de Silvio Rodriguez, quelques promenades de l’autre côté du miroir…
"Tous les arts procèdent d’un langage commun et les mots de cadence ou de rythme parlent autant au musicien, au danseur ou au peintre. La peinture de Carolina fait danser de grands volumes qui basculent et scandent la surface de leurs ombres et lumières alternées ; le rythme musical des couleurs nous fait joyeuse fête, écarquille les grands yeux des personnages en liesse et fait pousser les fleurs qui grimpent au flanc des tableaux… et on s’approche de la toile et on est frappé par les résonances subtiles des transparences de la matière picturale, car tous les arts se nourrissent du désir de perfection. Tous les arts procèdent d’un langage commun, le langage de Carolina est celui de la fête joyeuse, du tango de l’Uruguay et de l’humanité de tous les temps." Hervé Duetthe
"Des rêves et des pensées… leurs tours et leurs détours… des images et des sons… leurs combinaisons et reflets… Miroirs dans des miroirs… Réverbérations… Mirages… Consonances… dissonances … Ils flottent sur des vagues étranges et créent leurs propres lois. Ils glissent vers des dimensions insaisissables… Je les laisse s’envoler… …librement ?" Daniel Cabrera
