Une impression colorée,
les fragments de la nature,
l’emprunte de la lumière,
laissent en moi un souvenir qui m ‘émeut.
Le paysage me propose des constructions invisibles et des interrogations sur les limites de la capacité de voir et de comprendre. Ma perception des éléments fondamentaux qui le composent vont concentrer mon travail sur la chimère inaccessible qu’est l’horizon. Celui-ci va organiser et structurer mon travail. Il m’offre la possibilité d’effectuer une mise en profondeur ainsi qu’une montée du réel.
Le voyage me permet de découvrir d’autres univers. Il nourrit mes recherches et démontre que malgré sa richesse et sa subjectivité, il existe une universalité du paysage.