Toute vie s’anime au gré des rencontres. Les Hélènes se sont connues à Antibes, sur les bancs du Lycée Audiberti. Elles partagent leurs idées d’une esthétique singulière, de l’idée à la matière, la création s’organise.
Le verre en premier lieu : leurs gravures se retrouvent dans des lieux magiques de Paris à l’Ile Maurice. Alain DUCASSE les sollicite pour ses restaurants, beaucoup d’architectes d’intérieur suivront. Après la gravure sur verre, les Hélènes plongent dans la sculpture du verre et créent des œuvres qu’elles distribuent dans les plus grandes galeries boutiques d’art côtoyant Lalique et Daum. Elles aiment le verre, et le bois surgit au détour d’une exposition dans un grand vignoble, bois de tonneaux vieux de 100 ans, Les Hélènes y insèrent du verre pour créer un océan dans un arbre. Après avoir gravé, sculpté le verre et le bois, le bronze apparaît magique et lumineux.
Ces trois matières nobles vivent et dialoguent lorsque Les Hélènes parlent des figures mythologiques et légendaires émergeantes de l’alchimie des coulées de bronze, des pluies de verre et de la sculpture des bois de chênes centenaires.
Travaillant à quatre mains, les Hélènes créent et innovent des œuvres artistiques bien à elles, et leur indépendance de caractère est certainement la meilleure garantie de création, d’imagination, d’authenticité et de qualité. Les Hélènes pratiquent : le dessin, la gravure, le modelage de l’argile, la sculpture sur bois et sur verre ainsi que sur le bronze avec la ciselure.
Le sens de leur création affleure dans leurs différentes réalisations plastiques où fusionnent le bois, le bronze, le verre, nous menant de l’Afrique, berceau de l’Humanité, et la Grèce, berceau de la philosophie.
Les créations des Hélènes n’ont pas de limites que ce soit dans la technique ou dans la matière et suivent la même idée, jouer avec la lumière.
Leur technique pour crée leur pièces en bronze est unique car elles sculptent directement dans du sable de fonte silico-argileux l'empreinte de leur oeuvre avant de coulée le métal le moule étant détruit à chaque fois.